Tu te parles parfois mal ?
Tu te critiques, tu te rabaisses, tu te compares sans arrêt ?
Tu entends cette petite voix qui dit :
“T’as encore raté.”
“T’es pas assez.”
“Tu devrais déjà y arriver.”

Je la connais bien, cette voix.
Je l’ai entendue chez beaucoup de personnes que j’accompagne.
Et je l’ai aussi reconnue en moi.

On l’appelle le juge intérieur.
Mais en kinésiologie transgénérationnelle, j’ai appris une chose essentielle : Ce n’est pas toujours toi qui te juges.

Ce discours intérieur vient souvent de plus loin que toi

Quand je travaille avec le test musculaire, le corps révèle des messages que le mental ignore.
Des mémoires qui ne t’appartiennent pas vraiment.
Des phrases qu’un parent, un prof, un grand-parent, ou même une génération plus ancienne t’a transmises sans le vouloir.

Des phrases comme :

• “Sois parfaite.”
• “Ne fais pas de vagues.”
• “Ne dérange pas.”
• “Sois forte.”

Tu ne fais pas exprès de te juger.
Tu portes un discours que tu n’as pas choisi.
Et ce discours peut parfois venir de loyautés invisibles : un lien inconscient à une personne de ta lignée, à une blessure non guérie, à une souffrance familiale qui se répète.

Un exemple très concret

L. est venue en séance car elle se sentait bloquée dès qu’elle devait prendre une décision. Elle se jugeait durement à chaque erreur.
Son corps, lui, m’a montré une mémoire liée à sa grand-mère maternelle, qui avait été sans cesse rabaissée par son mari.
L’idée de “ne pas savoir” était devenue dangereuse.
L. en avait hérité inconsciemment.

Quand elle a pu nommer cette mémoire, l’émotion est sortie, et quelque chose s’est allégé.
Elle s’est reconnectée à sa propre autorité intérieure.
Ce n’était pas “elle” qui doutait.
C’était une histoire ancienne qu’elle rejouait sans le savoir.

Je t’aide à écouter ce que ton mental ne capte plus

En séance, je t’aide à identifier cette voix intérieure :

• D’où elle vient.

• Pourquoi elle est là.

• Ce qu’elle cherche à protéger.

• Et surtout… comment t’en libérer.

Parce que ce que tu crois être un défaut est peut-être une fidélité.
Parce que ce que tu ressens comme une honte est peut-être une mémoire.

Ton corps ne ment pas.
Ton mental, lui, répète souvent ce qu’il a appris trop tôt, trop fort, trop jeune.

Si tu te sens coincée, si tu en as marre de t’auto-saboter,
si tu veux comprendre pourquoi tu te juges autant,
je peux t’accompagner.

Je propose des séances de kinésiologie transgénérationnelle, en visio, depuis chez toi.
Et chaque séance est une respiration pour tout ton système.

Réserve ta séance ici 
Ou écris-moi si tu sens que c’est le bon moment.

À bientôt,
Mélanie